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Après CAPPELLE-BROUCK puis MERCKEGHEM et ERINGHEM, j'ai redécouvert BOLLEZEELE suite à la visite guidée organisée par l'association "Retables de Flandre".
Lors de mes jeunes années, je passais quelques jours de vacances chez mon grand-père Julien Missiaen dans ce charmant village. Des cousins et cousines résident encore dans cette région (Jean à Bollezeele, Simone à Bollezeele maintenant, autrefois à Rubrouck, Thérèse à Eringhem), je suis allée à leur domicile, je n'ai pu échanger qu'avec une seule cousine. Je vais au domicile de Jean en arrivant à Bollezeele.
L'histoire de BOLLEZEELE selon l'association Yser Houck : L'histoire de Bollezeele. Source : association Yser Houck
Voici les photos faites sous un ciel radieux, j'ai parcouru les rues que je connaissais avec beaucoup de bonheur, les souvenirs...
Photos faites avant le repas de midi et donc avant la visite guidée étant fixée à 16 heures :
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| L'église Saint-Wandrille de Bollezeele |
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| L'église Saint-Wandrille de Bollezeele |
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| L'église Saint-Wandrille de Bollezeele |
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| L'église Saint-Wandrille de Bollezeele |
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| La mairie |
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La maison de mon grand-père
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Elle est complètement défigurée. On aperçoit la toiture qui était recouverte de tuiles noires vernissées
En bordure de trottoir, il y avait un muret rehaussé d'une grille en métal et d'un portail. Il y avait un petit jardinet que je nettoyais durant les journées de vacances. Il y avait des rosiers plantés dans ce jardinet.
Un couloir central avec des pièces de chaque côté, il y avait un étage aménagé
A l'arrière, il y avait un long potager.
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| Petit commerce dont la façade est inchangée |



Eglise Saint-Wandrille de Bollezeele
Une église médiévale (XIIe siècle ?) précédait l'édifice actuel. Celui-ci est le résultat de reconstructions partielles et de transformations successives.
La tour (M.H.*) date sans doute de la fin du XVe siècle. En maçonnerie de briques et de pierres blanches, elle est bâtie à la croisée du transept. Elle est prolongée par une flèche octogonale de pierre ajourée (M.H.*) qui proviendrait des environs de Saint-Omer. La tour et la flèche ont fait l'objet d'une importante restauration en 1996.
Le transept, dont le bras sud est resté inachevé, pourrait être contemporain de la tour.
Vers 1606 (date portée à l'intérieur du bâtiment), le chœur est rebâti.
A la fin du XIXe siècle (1878-1882), la nef qui subsistait du XVIe siècle est démolie et reconstruite en style néo-gothique : baies des bas-côtés en tiers-point, fenêtres hautes de forme circulaire. La nef et les bas-côtés sont couverts de fausses voûtes de torchis plâtré.
Le dessin d'un faux triforium anime l'élévation.
Entre 1885 et 1900, le bras sud du transept est allongé et les trois absides sont réaménagées. Les bras du transept et les absides sont couverts de berceaux lambrissés peints au pochoir.
1 - Le retable du maître-autel
Le retable (M.H.*) du maître-autel date de la seconde moitié du XVIIIe siècle. C'est un retable-lambris qui intègre cinq baies. Le maître-autel (M.H.*) est surmonté d'un très beau tabernacle à exposition tournante, daté de 1829 et exécuté par Charles Contraire, de Volckerinckhove.
Dans les travées du chœur, des toiles marouflées (M.H.*) exécutées entre 1753 et 1773 par le peintre François Decanter évoquent la vie du Christ et de la Vierge Marie.
2 - Le retable nord (M.H.*)
Le retable nord est dédié à la Vierge: Notre-Dame de Bollezeele, ou de la Visitation. Il date de la première moitié du XVIIIe siècle. La statue de la Vierge est plus ancienne, sans doute du XVIe siècle. La transformation de l'abside, à la fin du XIXe siècle, a ménagé un jour indirect qui éclaire la statue. Ce retable en bois polychrome, à une travée, est encadré par deux paires de colonnes torses "habitées" d'écureuils et d'oiseaux.
L'autel et le tabernacle sont du XIXe siècle.
Les nombreux ex-votos qui couvrent les murs de cette abside datent pour la plupart de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.
3 - Le retable sud (M.H.*)
Le retable sud est dédié à saint Nicolas. Il date de 1779 et répond symétriquement à celui de la Vierge. La toile du tableau d'autel représente l'élection du saint à l'évêché de Myre. Il est également représenté au fronton, avec l'attribut de sa légende: le baquet. Dans la dévotion populaire, saint Nicolas est le patron des enfants et des jeunes gens.
4 - Le retable de la Sainte Famille (M.H.*)
Ce retable serait le plus ancien retable "architecturé" en bois conservé en Flandre française. Une inscription sur la prédelle le date de 1619.
L'autel actuel et le devant d'autel (antependium) ont été mis en place fin XVIIe siècle, début XVIIIe siècle.
Les statues actuelles sont des œuvres de la deuxième moitié du XIXe siècle.
5 - Le retable de la Résurrection (M.H.*)
Ce retable, qui date du XVIIIe siècle, est un des plus beaux de Flandre. Le faux marbre blanc et noir est conforme à l'origine, à l'imitation de la grande tradition anversoise de l'époque. Le style et l'iconographie sont totalement homogènes.
6 - L'orgue
La tribune et le buffet d'orgue (M.H.*) datent de 1669. L'instrument lui-même, construit par Van Eyde, facteur d'orgues à Ypres, a été plusieurs fois restauré. Cependant, la plupart des tuyaux d'origine sont encore en place.
7 - La chaire de vérité (M.H.*)
La cuve de la chaire est de la fin XVIIe-début XVIIIe. Les symboles des évangélistes alternent avec les visages de la Vierge et du Christ, autour de saint Wandrille, patron de la paroisse.
8 - Vestiges
Des fragments de colonnes et de chapiteaux en grès constituent des vestiges de l'édifice du XIIe siècle.
9 - Les vitraux
Les remarquables vitraux sont tous issus d'ateliers brugeois, entre 1898 et 1924. Ils évoquent pour la plupart les dévotions à Notre-Dame, particulièrement dans la région (Lille, Cambrai, Dunkerque, Saint-Omer, Boulogne...) et plus particulièrement encore à Bollezeele (résurrection d'un bébé, guérisons miraculeuses, apparition, délivrance de la peste, pèlerinage de l'infante Isabelle, couronnement de la statue...).
Les vitraux de l'abside du maître-autel illustrent des thèmes eucharistiques: sacrifice de Melchisédech, la Cène, la Crucifixion, les noces de Cana, le sacrifice d'Abraham).
* M.H.: objet protégé au titre des Monuments historiques
Informations réunies par les Guides et Volontaires du patrimoine, validées par les Conseillers de l'association Retables de Flandre.
Réalisation graphique: Atelier de cartographie du Conseil régional. Décembre 1996
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| L'église Saint-Wandrille de Bollezeele |
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| Le retable de la Sainte Famille |
Le retable de la Sainte Famille (M.H.*)
Ce retable serait le plus ancien retable "architecturé" en bois conservé en Flandre française. Une inscription sur la prédelle le date de 1619.
L'autel actuel et le devant d'autel (antependium) ont été mis en place fin XVIIe siècle, début XVIIIe siècle.
Les statues actuelles sont des œuvres de la deuxième moitié du XIXe siècle.
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| Le retable nord : Notre Dame de Bollezeele ou de la Visitation |
Le retable nord (M.H.*)
Le retable nord est dédié à la Vierge: Notre-Dame de Bollezeele, ou de la Visitation. Il date de la première moitié du XVIIIe siècle. La statue de la Vierge est plus ancienne, sans doute du XVIe siècle. La transformation de l'abside, à la fin du XIXe siècle, a ménagé un jour indirect qui éclaire la statue. Ce retable en bois polychrome, à une travée, est encadré par deux paires de colonnes torses "habitées" d'écureuils et d'oiseaux.
L'autel et le tabernacle sont du XIXe siècle.
Les nombreux ex-votos qui couvrent les murs de cette abside datent pour la plupart de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.

Le retable du maître-autel
Le retable (M.H.*) du maître-autel date de la seconde moitié du XVIIIe siècle. C'est un retable-lambris qui intègre cinq baies. Le maître-autel (M.H.*) est surmonté d'un très beau tabernacle à exposition tournante, daté de 1829 et exécuté par Charles Contraire, de Volckerinckhove.
Dans les travées du chœur, des toiles marouflées (M.H.*) exécutées entre 1753 et 1773 par le peintre François Decanter évoquent la vie du Christ et de la Vierge Marie.
Le retable du maître-autel
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| Le retable sud est dédié à saint Nicolas. |
Le retable sud (M.H.*)
Le retable sud est dédié à saint Nicolas. Il date de 1779 et répond symétriquement à celui de la Vierge. La toile du tableau d'autel représente l'élection du saint à l'évêché de Myre. Il est également représenté au fronton, avec l'attribut de sa légende: le baquet. Dans la dévotion populaire, saint Nicolas est le patron des enfants et des jeunes gens.
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| Le retable de la résurrection |
Le retable de la Résurrection (M.H.*)
Ce retable, qui date du XVIIIe siècle, est un des plus beaux de Flandre. Le faux marbre blanc et noir est conforme à l'origine, à l'imitation de la grande tradition anversoise de l'époque. Le style et l'iconographie sont totalement homogènes.
L'orgue
La tribune et le buffet d'orgue (M.H.*) datent de 1669. L'instrument lui-même, construit par Van Eyde, facteur d'orgues à Ypres, a été plusieurs fois restauré. Cependant, la plupart des tuyaux d'origine sont encore en place.
C'est l'heure du repas, un seul petit restaurant dans le secteur, il se trouve sur la place de Bollezeele.
Puis, je vais au cimetière (mes grands parents, une tante, mon parrain et son épouse, des cousins...) Et ensuite Je prends la direction d'ERINGHEM puis du hameau de "Le Nel" (hameau de Bollezeele) pour voir la ferme de mon grand-père (lieu de naissance de papa) et celle de mon parrain.
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LE NEL, hameau de Bollezeele
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On aperçoit de la route l'entrée de la maison de la ferme de mon grand-père où a vécu papa au lieu-dit de Bollezeele "Le Nel" Papa allait à l'école à pieds par tous les temps : l'école se trouvait à 2.70 km donc au moins 5.4 km par jour ! |
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Autrefois, c'était la ferme de mon parrain et de sa famille à quelques centaines de mètres plus bas que la ferme de mon grand-père
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Il ont transféré un hangar de bois grâce à de grandes roues entre les deux fermes (celle de mon grand-père et celle de mon parrain) |
De retour au village de Bollezeele, je rend visite à ma cousine.
Puis c'est l'heure de la visite guidée qui débute à 16h.
La visite guidée de l'église Saint-Wandrille de Bollezeele :
Cette visite commentée est organisée par l'association "Retables de Flandre".
Tout d'abord, le guide nous présente des plans de l'église qui a fait l'objets d'agrandissements successifs.
Nous commençons par l'extérieur.
Il ne reste plus rien de l'église du XIIe siècle : ses derniers vestiges, les colonnes remployées dans la nef du XVIe siècle, ont été détruits lors de la reconstruction de la nef à la fin du XIXe siècle. La tour-clocher a été remplacée à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle ; le choeur, le bras nord du transept et le bras sud (partiellement) ont été reconstruits, peut-être en 1606, date portée dans le choeur, mais on peut se demander si le transept ne date pas - tout comme la tour-clocher - de la fin du XVe ou du début du XVIe siècle (analyse de l'oeuvre). On peut supposer que la reconstruction de la nef, remployant les colonnes de l'église du XIIe siècle, date du XVIe siècle. Elle était constituée de deux vaisseaux, le vaisseau sud manquant : il s'agissait donc d'une église-halle inachevée, comme à Zegerscappel, et dissymétrique par rapport à l'axe de la tour-clocher. Le cimetière, situé au flanc sud de l'église, a été reporté en 1865 à l'extérieur du bourg pour des raisons de salubrité (position centrale dans le bourg, contigüité avec l'école) et en raison de ses dimensions trop faibles (A.D. Nord série O). La nef a été détruite et reconstruite entre 1878 et 1882 par Auguste Outters (1808-1892) , architecte à Bergues (Nord) , en style néogothique (A.D. Nord série O). Entre 1895 et 1900, le bras sud du transept est allongé et l'espace intérieur des trois absides réaménagé ; les lambris de couvrement du choeur et du transept sont peints vers 1900 ; ces travaux donnent à l'église sa symétrie architecturale. La sacristie de style néogothique a sans doute été construite dans le 1er quart du XXe siècle.
Puis le guide nous commente les cinq retables et il termine par les tableaux et les vitraux.
Les vitraux représentent différentes scènes de la vie, des miracles que l'on dit imputables à Notre Dame de la Visitation.
BOLLEZEELE Notre Dame de la Visitation, son histoire
Cette dévotion est très ancienne, déjà avant le 13ème siècle, un pèlerinage s’y faisait à Notre Dame de la Visitation. La Vierge apparut à une époque indéterminée, sur les bords de l’Yser, sous la forme d’une statue de pierre au pied de laquelle coulait une fontaine.
Deux fois, on transporta cette statue devant l’église paroissiale de BOLLEZEELE sans apparat ; et chaque fois la statue revint au point de départ, en suivant un chemin que l’on marqua au fil rouge. Ce fut alors qu’on décida d’organiser une procession solennelle et que l’on vint à une troisième reprise chercher la statue, qui, cette fois, demeura à l’église.
La route suivie porta longtemps le nom de “chemin de la procession”. C’est en souvenir de cet événement que les pèlerins prenaient à l’autel de Notre Dame le fil rouge béni qu’ils portaient au bras.
En 1429, un enfant mort sans baptême avait été enfoui en terre profane. Vivement affligée du malheur de son enfant, la mère, encore alitée, reçoit en songe de l’ordre de l’exhumer.
Son mari, avisé du fait, trouve qu’il n’y a pas à s’occuper d’un songe. Mais il fait le même rêve et entend à plusieurs reprises le même ordre. Il finit par acquiescer aux sollicitations de sa femme et demande la personne qui avait enterré l’enfant. Moyennant salaire, l’exhumation sera faite.
Quinze jours s’écoulèrent ; on était en plein hiver. Enfin, le petit cadavre est exhumé, présenté à ses parents et de là porté à l’autel de Notre Dame de BOLLEZEELE.
Pendant qu’il y repose, ô prodige ! on le voit soudain palpiter et renaître à la vie, il reçoit le baptême, expire de nouveau, et est, cette fois, déposé en terre sainte.
Vers 1510, le fléau de la peste désola la Flandre. On eut recours à Notre Dame de BOLLEZEELE et le fléau cessa. En reconnaissance, beaucoup de paroisses firent le vœu d’une pèlerinage annuel.
En 1650, les jésuites de Saint-Omer, en reconnaissance de la protection visible dont Notre Dame de la Visitation avait entouré leur collège, tandis que la peste décimait leur quartier, envoyèrent pour sa chapelle une lampe d’argent avec cette inscription :
“à l’auguste vierge Marie de Bollezeele qui délivre de la peste”.
Plus tard, ils offrirent une châsse en argent renfermant des cheveux de la sainte vierge et un calice également en argent, où se lisaient ces mots :
“offert par le séminaire anglais de Saint-Omer, à la bienheureuse vierge de Bollezeele, l’an du seigneur 1687”.
L’épouse de Jacques II, roi d’Angleterre, Marie-Thérèse, de l’illustre famille des ducs de Modène, ayant appris que la Sainte Vierge se faisait depuis longtemps connaître dans la paroisse de Bollezeele par d’éclatants miracles et qu’un grand nombre de femmes stériles avaient eu le bonheur de devenir mère en allant à ce sanctuaire honorer le mystère de la Visitation, demande des prières dans la chapelle. Elle désirait ardemment un fils, et le 20 mai 1688, elle mettait au monde le Prince de Galles. La reine d’Angleterre accouche non seulement sans péril ni douleur, mais son âme fut inondée d’une joie indicible. Aussi, tous ceux qui furent témoins de son bonheur, regardèrent cet enfant comme un don du ciel.
En 1621, la princesse Isabelle, épouse du prince Albert, entreprit le pèlerinage de Bollezeele pour obtenir un fils. Elle fit publiquement la communion dans la chapelle, elle y laissa de riches présents, qui constituaient en une chaîne d’or, une chasuble brodée de ses mains et un reliquaire contenant les cheveux de la Sainte Vierge.
En 1776, l’abbesse de Ravensberghe donne à notre église une relique de la Sainte Croix.
En 1859, tout le petit peuple de Bollezeele est témoin de la protection de la Vierge. En effet, cette année là, une grêle épouvantable ravagea toutes les paroisses voisines alors que “Bollezeele” seul fut épargné.
Source : Notre Dame de la Visitation
Voici un article de 2024 au sujet de la procession : La neuvaine dédiée à Notre-Dame de Bollezeele s’est déroulée avec une grande ferveur et a attiré de nombreux fidèles. Chaque jour, une messe a été célébrée, permettant aux participants de vivre un moment de prière intense et collectif.
La procession, fidèle à elle-même, a été un moment fort de la neuvaine. Une innovation notable cette année a été l’utilisation d’un chariot pour transporter la statue de Notre-Dame jusqu’à la source. Cette solution ingénieuse a remplacé la tradition de porter la statue à bras, facilitant ainsi le déplacement tout en préservant l’esprit de la procession.
Comme à l’accoutumée, les habitants ont décoré leurs fenêtres avec des statues de la Vierge, créant une atmosphère de dévotion et de fête le long du parcours de la procession.

Au sujet des vitraux :
Les remarquables vitraux sont tous issus d'ateliers brugeois, entre 1898 et 1924. Ils évoquent pour la plupart les dévotions à Notre-Dame, particulièrement dans la région (Lille, Cambrai, Dunkerque, Saint-Omer, Boulogne...) et plus particulièrement encore à Bollezeele (résurrection d'un bébé, guérisons miraculeuses, apparition, délivrance de la peste, pèlerinage de l'infante Isabelle, couronnement de la statue...).
Les vitraux de l'abside du maître-autel illustrent des thèmes eucharistiques: sacrifice de Melchisédech, la Cène, la Crucifixion, les noces de Cana, le sacrifice d'Abraham).
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| Le retable de la Sainte Famille |
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| Le retable de la Sainte Famille, détail |
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| Le retable de la Sainte Famille, détail |
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| Le retable nord : Notre Dame de Bollezeele ou de la Visitation |
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| Le retable du maître-autel |
Le retable du maître-autel
Le retable (M.H.*) du maître-autel date de la seconde moitié du XVIIIe siècle. C'est un retable-lambris qui intègre cinq baies. Le maître-autel (M.H.*) est surmonté d'un très beau tabernacle à exposition tournante, daté de 1829 et exécuté par Charles Contraire, de Volckerinckhove.
Dans les travées du chœur, des toiles marouflées (M.H.*) exécutées entre 1753 et 1773 par le peintre François Decanter évoquent la vie du Christ et de la Vierge Marie.
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| Le retable sud est dédié à saint Nicolas. |
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| Saint Wandrille |
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| Le retable de la résurrection |
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| La statue est posée sur une colonne qui est un vestige de l'ancienne église |
Vestiges
Des fragments de colonnes et de chapiteaux en grès constituent des vestiges de l'édifice du XIIe siècle.
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| En bas, à gauche, le deuxième vestige de l'église primitive |
Vestiges
Des fragments de colonnes et de chapiteaux en grès constituent des vestiges de l'édifice du XIIe siècle.
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| La chaire de vérité |
La chaire de vérité (M.H.*)
La cuve de la chaire est de la fin XVIIe-début XVIIIe. Les symboles des évangélistes alternent avec les visages de la Vierge et du Christ, autour de saint Wandrille, patron de la paroisse.
Les vitraux de l'abside du maître-autel illustrent des thèmes eucharistiques: sacrifice de Melchisédech, la Cène, la Crucifixion, les noces de Cana, le sacrifice d'Abraham).
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| Vitrail de l'abside du maître-autel. |
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| Vitrail de l'abside du maître-autel. |
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| Vitrail de l'abside du maître-autel. |
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| Vitrail de l'abside du maître-autel. |
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| Vitrail de l'abside du maître-autel. |
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| Le retable nord : Notre Dame de Bollezeele ou de la Visitation |
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| Le retable nord : Notre Dame de Bollezeele ou de la Visitation |
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| Saint Wandrille |
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| Les tableaux dans le choeur |
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| Les tableaux dans le choeur |
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| La chaire de vérité, saint Wandrille |
Avant de quitter Bollezeele, j'ai emprunté la rue de la source Notre Dame et je l'ai trouvée au bors d'un chemin étroit en contre-bas. Le lieu est bien entretenu.