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lundi 23 juin 2025

Lundi 23 juin 2025 - BAILLEUL (59)

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Balade et découverte du patrimoine à Bailleul

Ce lundi matin nous étions une douzaine avec Mr Eric Vanneufville, écrivain, historien diplômé (doctorat en histoire) et bailleulois, pour une balade commentée dans la belle ville de Bailleul. Il nous proposé une visite de qualité, il est passionné, passionnant et très agréable à écouter.

Il nous a emmenés vers des sites remarquables de la ville et nous a transmis ses connaissances très riches et très importantes, qu'elles soient historiques ou architecturales. 

Il nous a offert une balade culturelle dont on se souviendra et il nous a donné des idées  de sorties également.

Dans cet article, j'ai pris pour référence les données qui apparaissent sur le site de la mairie de Bailleul principalement.

La ville de BAILLEUL est située à proximité de la plaine de la Lys et au pied des monts des Flandres, limitrophe de Belgique. Elle comprend trois hameaux : Outtersteene, La Crèche, le Steent'je, et de nombreux lieux-dits (la Blanche, Mont-de-Lille, Ravensberg, le Seau, etc.). Bailleul fait partie du Westhoek, et au sein de ce dernier plus particulièrement de la région naturelle transfrontalière appelée Houtland.
En 2022, 14 734 bailleullois et bailleuloises résidaient à Bailleul.
Bailleul compte quatre églises, deux en centre-ville et une dans les hameaux de Outtersteene et Steent'je. Elles sont dédiées et portent respectivement le nom de : Saint-Amand, Saint-Vaast, Saint-Jean-Baptiste, l'Immaculée Conception. Les deux hameaux cités comptent également un cimetière.
La Ville est occupée dès l'époque gallo-romaine et son histoire se confond ensuite avec celle de la Flandre.

Détruite plusieurs fois, notamment à cause des incendies, la ville est totalement anéantie en 1918 par les bombardements et les tirs d'artilleries. Natalis Dumez, maire de l'époque, veut lui rendre son caractère flamand: une équipe d'architectes, conduite par Louis-Marie Cordonnier, œuvre pour la reconstruction de la ville. Bruges est choisie pour référence, et les époques Gothique et Renaissance comme sources d'inspiration.

Au début du XX siècle, la ville de Bailleul est réputée pour ses filatures et usines textiles, la confection manuelle de dentelle et sa production de fruits et de fleurs sous serre. Quand la Première Guerre mondiale éclate, la ville devient une base arrière des armées alliées combattant dans le secteur d'Ypres. En avril 1918, au cours de la bataille de la Lys, la ville est prise par les troupes allemandes et est totalement anéantie en quelques jours sous l'effet des artilleries de chaque camp.

Au lendemain du conflit, la municipalité de Natalis Dumez fait le choix d'une reconstruction fidèle à l'histoire de la ville et à son organisation spatiale, comme le propose l'architecte régionaliste Louis-Marie Cordonnier. Trouvant inspiration dans de nombreux édifices de Bruges en Belgique, l'équipe d'architectes maitres d'œuvre suit les préceptes de l'architecture flamande traditionnelle: la majorité des bâtiments publics et privés est reconstruite en briques parfois rehaussées de pierre; les façades intègrent des pignons et sont composées autour des travées verticales. L'aménagement urbain est aussi pensé pour répondre à de nouveaux besoins : les rues principales sont élargies, l'adduction d'eau est développée, des squares sont créés, un établissement public de bains-douches publics est construit

Si les contraintes financières de la période amènent parfois à revoir les intentions initiales des architectes, la reconstruction de Bailleul demeure un cas exemplaire de création d'une ville flamande à la fois idéalisée et moderne.

Davantage d'informations 
au sujet de Bailleul en ouvrant 


Voici la vidéo avec quelques photos de la balade en extérieur
Pour agrandir la vidéo : après l'avoir démarrée, appuyez sur le carré qui apparaît en bas à droite




LA VISITE COMMENTEE DE BAILLEUL

Le Présidial, place Plichon, Bailleul

Érigé en 1776, par les architectes Legrand et Vanneuville, son architecture imprégnée du classicisme français lui confère un style différent de celui des autres bâtiments flamands de la ville. Étant le seul à ne pas avoir été entièrement détruit par les obus en 1918, il fut restauré en 1920. 

Suite au Traité d’Utrecht en 1713, ratifiant le rattachement d’Ypres et de sa châtellenie à la Maison d’Autriche, le Présidial des Flandres est transféré à Bailleul. Il avait pour mission de juger l’ensemble des affaires du territoire. Les condamnés étaient enfermés dans les cachots situés au sous-sol du bâtiment. 

Le Présidial généra une activité intense dans la ville avec l'arrivée de magistrats, juges, avocats, greffiers, huissiers et audienciers.

Restauré en 2012, il abrite aujourd’hui le siège du Cercle d'Histoire et d'Archéologie de Bailleul et des Monts des Flandres (CHAB), du Centre de recherche Généalogique de Flandre et Artois (CRGFA) ainsi que l’Amicale Philatélique des Flandres. Source : site internet de la mairie de Bailleul


Nous arrivons face à l'immeuble abritant au rez-de-chaussée l'association L'IHF  L'Info Histoire Flandre" dont le président est Mr Eric Vanneufville.
Le site de l'association en ouvrant le lien ci-après : L'IHF

L'association L'IHF est abritée au rez-de-chaussée de cet immeuble

Le monument britannique à gauche.
A droite, l'immeuble qui abrite au rez-de-chaussée l'association L'IHF

Conçu par l’architecte Rainaut, il a été érigé le 7 juin 1921 sur sollicitation du War Office de Londres, en mémoire de la 25ème Division britannique, qui a contribué à tenir le front des Monts des Flandres entre 1915 et 1918 au prix de lourdes pertes humaines. Sur le monument figure le nom des unités de la Division, les lieux des batailles, et les armoiries de la Grande- Bretagne et de Bailleul. Source : site internet de la mairie de Bailleul


Le monument aux morts

Conçu en 1919 par l’architecte Jacques Barbotin, cet édifice se dresse à l'emplacement de l'ancienne église Saint-Amand qui fut la chapelle des Jésuites du XVIIsiècle.

Il évoque l'anéantissement de la ville, le sacrifice des victimes militaires et civiles durant la Grande Guerre, la guerre de 1870 et les guerres d'Algérie et d'Indochine.

Bâti à partir des marches d'accès de l'ancienne église et des matériaux provenant des ruines des principaux monuments de la ville (beffroi, églises), jaillit sur ce fond de désolation, une Victoire ailée au formidable élan vital.

Cette sculpture est l’œuvre de Camille Debert, fils de Charles Debert, maître sculpteur à Bailleul.

Source : site de la mairie de Bailleul

Le monument aux morts

Le monument aux morts

L'école académique de la dentelle
Cette école, à sa création, est financée par un mécène américain, William Nelson Cromwell, ému du sort de la ville quasi rasée pendant la Première Guerre mondiale, l'école dentellière date de la reconstruction de la ville. La construction est de style néoflamand, adopté pour la reconstruction de la ville. Elle est ouverte depuis 1925.
Découvrez l'école dentellière en ouvrant le lien : Ecole dentellière de Bailleul et découvrez son histoire Histoire de l'école dentellière de Bailleul
.

L'école de la dentelle
Le buste de William Nelson CROMWELL, 
américain et grand ami de le France,
relance l'activité dentellière à Valenciennes et à Bailleul

L'école de la dentelle


L'église Saint-Vaast

D’après le plan de Bailleul datant de 1640 de Vedastus du Plouich, on sait qu’au XVIIe siècle il s’agissait d’une église à trois nefs d’égale hauteur dite « Hallekerk ». Détruite par les bombardements durant la Grande Guerre, elle laisse la place en 1932, date d’inauguration, à un édifice néo-romano-byzantin qui se dresse derrière le beffroi, conçu par les  architectes Louis-Marie et Louis-Stanislas Cordonnier. Non reconstruite à l’identique, cette église possède aujourd’hui un style éclectique, allant de l'art roman à l'Art-Déco, en passant par l'art égyptien. 

Observez les tympans au-dessus des portails et, à l’intérieur, les sculptures des quatre évangélistes, de l'autel et de la chaire, réalisées par l'artiste local Camille Debert. À voir également, les 23 vitraux réalisés par Tambouret, maître verrier à Amiens, représentant la fondation de la ville et la représentation de nombreux personnages historiques.

L'église Saint-Vaast



L'église Saint-Vaast, de style néo romano byzantin

La rue des Foulons, au loin un mont de Flandre

Les châteaux d'eau

À l'emplacement actuel des châteaux d'eau se trouvait une école communale de garçons qui est réquisitionnée pendant la guerre par les autorités britanniques et transformée en pharmacie militaire. L'une des unités médicales britanniques, le n° 53 Casualty Clearing Station, s'y installe en septembre 1915.
La fontaine publique était alors située devant cette école. Elle y avait été installée en 1844, captant les eaux des sources du Mont Noir pour pallier le manque d'eau chronique de la ville. Huit bornes permettaient de redistribuer cette eau en quantité suffisante à la population.

Le premier château d'eau est construit en 1882 contre le pignon de l'Église Saint Vaast et sera détruit lors des bombardements de 1918 sur Bailleul.
En 1921, un nouveau château d'eau est érigé à l'emplacement le plus élevé de la ville, permettant ainsi d'alimenter les nouvelles maisons à plusieurs étages. Les architectes sont alors amenés à déplacer l'école des garçons. 
Le second viendra s'y ajouter en 1961, alimenté par les eaux des collines de l'Artois à 40 kilomètres de Bailleul.


L'église Saint-Vaast

L'église Saint-Vaast

L'église Saint-Vaast

Les vitraux de l'église saint Vaast sont particuliers et notre guide nous a commenté la plupart; ces vitraux racontent l'histoire de la ville, c'est la première fois que je vois cela. Les 23 vitraux réalisés par Tambouret, maître verrier à Amiens, représentent la fondation de la ville et la représentation de nombreux personnages historiques. Voici des photos d'une partie des vitraux, ceux qui ont fait l'objet de commentaires de la part de Mr Vanneufville.













Dommage, on ne découvre pas les dessins et couleurs de vitraux tout là haut

Photo empruntée sur internet












Le beffroi, le carillon

Du XI au XIII siècle, une nouvelle classe de la société émerge: les bourgeois.
Ces marchands et entrepreneurs (souvent des drapiers à Bailleul) revendiquent le droit de s'administrer eux-mêmes.
Les beffrois sont ainsi élevés dans les communes qui ont obtenu du Comte de Flandre des chartes de liberté. Le beffroi de Bailleul est aussi utilisé comme tour de guet pour la surveillance de la ville et des environs pendant les guerres et il fut témoin des incendies et reconstructions successives.
Cette fonction est rappelée aujourd'hui par la présence de la girouette Mélusine, située au sommet du beffroi et veillant sur la ville.
Fin mars 1918, un obus allemand éventre le beffroi et, quelques jours plus tard, les batteries alliées détruisent complètement l'édifice pour repousser les troupes allemandes entrées dans la ville. Seuls subsisteront les murs de la salle gothique, datant du XIII° siècle, aujourd'hui classée monument historique.
Après la guerre, l'architecte Louis-Marie Cordonnier est chargé de la reconstruction de l'hôtel de ville et du beffroi, inaugurés en 1932, puis inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2005.
En levant la tête vers le beffroi, se dévoilent successivement: à la base, la salle gothique puis au niveau du balcon, le bureau du Maire, surmonté de la salle des archives qui contenait autrefois les précieuses chartes, puis les horloges sous le chemin de ronde. Plus haut, le campanile abrite un carillon composé de 35 cloches. Il sonne tous les quarts d'heure des airs flamands. L'élément le plus remarquable de l'hôtel de ville est le perron doté d'une bretèche. Les représentants du magistrat venaient y lire les ordonnances ou annoncer les manifestations importantes. Plus haut, une niche abrite la statue de Notre-Dame de Foy, protectrice des foyers.
Aux heures d'ouverture de la Mairie, chacun peut découvrir sur le grand vitrail qui surplombe l'escalier d'honneur les activités économiques qui ont fait la richesse de la ville: la dentelle, la poterie, le filage du lin, le tissage du drap de laine, ainsi que les cultures régionales: lin, blé, houblon et pomme de terre.


Le beffroi, le carillon

Le beffroi, symbole des villes du nord, marque l’émancipation des communes du pouvoir féodal. Cette tour massive, abritant des cloches servait aussi de tour de guet pour surveiller la ville. Cette fonction est rappelée par la présence de la girouette Mélusine, gardienne des Bailleulois, en haut de la tour de 62 mètres.

L’édifice fut le témoin des incendies et multiples destructions de la ville. Fin mars 1918, un bombardement détruit presque entièrement le beffroi. Il ne subsiste d’origine que la Salle gothique datant du XIIIsiècle.

La ville confia la reconstruction du nouveau beffroi et de l’Hôtel de Ville à l’architecte lillois Louis-Marie Cordonnier qui furent inaugurés en 1932.

Le carillon est classé au titre des monuments historiques, son carillon de 35 cloches est aussi l’un des plus beaux fleurons du patrimoine bailleulois. Impossible de ne pas l’entendre : tous les quarts d’heure une ritournelle différente résonne dans la cité.

En 2023, le carillon à ritournelles a fait l'objet d'une restauration avec le soutien de la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles), de la Fondation du Patrimoine et des nombreux mécènes et donateurs qui ont répondu à la campagne de financement participatif. Les travaux ont été effectués par Paschal Art Campanaire.







Au sommet du beffroi : Mélusine

Mélusine, gardienne des Bailleulois
A 62 mètres du sol, la sirène Mélusine est chargée d'avertir la ville de tout danger. Selon une légende poitevine, Mélusine était une jeune fille victime d'un maléfice, qui se transformait chaque samedi en une créature moitié femme moitié serpent. Le jour où son mari découvrit son secret, elle poussa un gran cri et disparut. Puis, quand un malheur menaçait sa famille, elle revenait errer dans les douves du château de son époux en poussant des cris lugubres pour le prévenir du danger.

Le centre culturel Marguerite de Yourcenar

Autrefois, ce devait être l'emplacement des douves, cette rue s'appelle "Rue des Viviers"

Le buste d'Edmond de Coussemaker


Le musée Benoît-De-Puydt

Le musée s'est constitué en 1861 suite au legs consenti à sa ville natale par un riche collectionneur, Benoît De Puydt. Tout au long de sa vie, ce greffier, curieux et passionné, a rassemblé un important ensemble d'objets d'art témoins de la culture flamande du XV au XIX siècle. Les donations successives d'artistes et d'amateurs ont renforcé le charme si particulier de ce musée.
Pendant la Grande Guerre, le musée reste ouvert aux militaires et aux invités de marque, qui le surnomment "le petit Cluny" en référence au musée parisien. En mars 1918deux camions militaires évacuent une petite partie des collections vers la Normandie. Le bâtiment du musée est entièrement détruit. Le volume des œuvres abandonnées est estimé à 70%. C'est grâce aux dommages de guerre que la collection est reconstituée.
Pour redonner vie à une partie des peintures disparues, le musée Benoît-De-Puydt présente aujourd'hui leur description soigneusement rédigée en 1881 par le conservateur de l'époque, sur des panneaux aux dimensions d'origine des œuvres. À chacun d'imaginer ce que représentaient ces tableaux fantômes». 


Le buste de Marguerite Yourcenar,
pseudonyme de Marguerite Cleenewerck de Crayencour
Elle a beaucoup écrit sur Bailleul

La médiathèque "Au fil des mots"



Voici une interview de Mr Eric Vanneufville "Des racines et des ailes" au sujet de la Flandre, sa région de prédilection !
Je n'ai pas réussi à extraire cette vidéo de Facebook, désolée...


L'entrée du cimetière communal de Bailleul

Ce cimetière à la conception unique regorge de trésors : sépultures, chapelles, chemin de croix, épitaphes étonnantes.

Le cimetière originel entourait l’église Saint-Vaast. Il fut transféré à son emplacement actuel juste après la Révolution de 1789.

Son entrée principale est encadrée par la maison du gardien (architecte Jacques Barbotin, 1923) et par une chapelle dédiée à Notre-Dame de Hal (architecte Louis Roussel, 1929).

Autour du calvaire et dans le sens des aiguilles d’une montre, furent érigées quatorze chapelles évoquant le Chemin de Croix. Le plan du cimetière vu du ciel représente un Christ crucifié dans une mandorle.

Les plus vieilles tombes sont légèrement postérieures au milieu du XIXe siècle. Sont enterrées dans ce cimetière les plus vieilles familles bailleuloises (Bieswal, Cortyl, Lotthé, De Coussemaker, Cleenewerck de Crayencour…). On peut également y trouver la tombe de Léona Delcourt, plus connue sous le nom de Nadja, la muse et héroïne littéraire d’André Breton. Source : site de la mairie de Bailleul


Découvrez la vidéo de Flandres.tv : Le cimetière communal de Bailleul










Quelques informations au sujet de Henri Joseph Charles Cheroutre




L'un des deux cimetières britanniques, il se trouve près du cimetière communal

La ville accueillant de nombreux blessés dans ses hôpitaux lors de la Grande Guerre, le cimetière britannique de Bailleul fut créé en octobre 1914 près du cimetière communal afin d'y enterrer les victimes militaires britanniques, françaises et allemandes. 

Il compte plus de 4 500 stèles de soldats tombés au combat entre 1914 et 1918. À la fin de la guerre, de nombreux corps furent rapatriés dans ce cimetière, d’où son extension. On note également la présence de tombes chinoises. Un carré communal français regroupe des tombes de victimes civiles tuées lors de bombardements. 

Un deuxième cimetière britannique est situé au hameau d'Outtersteene, qui accueillit également un hôpital entre 1914 et 1918. Il contient 1 397 sépultures.





Nous nous retrouvons dans la Maison du Néerlandais pour échanger sur divers sujets.
Nous remercions Mr Eric Vanneufville de nous avoir consacré la matinée pour la découverte de sa ville. Il nous a donné plusieurs raisons de revenir à Bailleul afin de le découvrir plus longuement ou de le faire découvrir à notre entourage. Il nous a incités à découvrir la Flandre et en particulier Lille avec l'association "Renaissance du Lille ancien", Hondschoote, Zuydcoote, Téteghem, Cassel avec le Cercle d'histoire de Cassel, etc...
La Maison du Néerlandais organise une sortie le dimanche 28 septembre 2025 à Anvers, il nous décrit le contenu.





Le site internet de la Maison du Néerlandais : https://mnl-bailleul.fr/

Mr Eric Vanneufville connait énormément de communes de flandres, des communes qui se situent entre Douai et Anvers...

Peut être un jour de 2026, il nous contera des légendes en Flandre, par exemple à Hondschoote (mairie, église, bataille etc...), des récits, qui mettent en scène des personnages fabuleux, des géants, des héros et surtout des héroïnes, mais aussi des hommes et des femmes de la vie quotidienne. Comme il l'a fait dernièrement à Holque !

Il est l'heure de se restaurer !



LA VISITE GUIDEE DU MUSEE BENOÎT DE PUYDT




Portrait de Benoît De Puydt
Fondateur de ce musée
Bienfaiteur de la ville















Portrait de Louis Henri Hans





Peinture de Jacob Savery
Il représente le centre ville de Bailleul

Saint Vaast


Peintre ; Pharaon de Winter

Peintre ; Pharaon de Winter

Peintre : Pharaon de Winter
L'indiscrète

Peintre : Pharaon de Winter

Peintre : Pharaon de Winter
Il a représenté de droite à gauche : sa fille Rosa,
une peinture de son épouse décédée,
son fils, lui même Pharaon de Winter, la gouvernante

Peintre : Pharaon de Winter
Autoportrait et son épouse

Peintre : Pharaon de Winter
Rosa de Winter, fille de Pharaon de Winter

Peintre : Pharaon de Winter

Peintre : Pharaon de Winter


Peintre : Pharaon de Winter

Peintre : Pharaon de Winter

Joseph Alphonse Chauleur
Le café, après un déjeuner en famille

Peintre : Henri Deturck
Le jeu de dames

Peintre : Albert Charles Dequène
Scène dans un café lillois

Peintre : Jane Agnès Chauleur-Ozeel
Rêverie

Peintre : Pharaon de Winter, autoportrait

Peintre : Henri Deturck
Portrait de femme

Peintre : Jane Agnès Chauleur-Ozeel
La classe aux poupées



Une faïence d'AIRE SUR LA LYS
Saint Jean Baptiste, bénitier

3 faïences d'AIRE SUR LA LYS
En haut à gauche
En haut à droite (dont saint Jean Baptiste)

Une faïence d'AIRE SUR LA LYS

Une faïence d'AIRE SUR LA LYS

Deux faïences d'AIRE SUR LA LYS



Mélusine, l'original.
Une copie se trouve au sommet du beffroi






Le groupe scolaire Jan de Belle

L'entrée du jardin public